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    This is the hunt [Fini]

    Hariken Shiro
    Hariken Shiro
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    This is the hunt  [Fini] Empty This is the hunt [Fini]

    Message par Hariken Shiro Sam 23 Fév - 17:58

    Informations















    • Nom: Hariken
    • Prénom: Shiro
    • Surnom: Umi Washi
    • Âge: 22 ans
    • Sexe: Masculin
    • Village: Chigirigakure no Sato
    • Grade : Chuunin

    Compétences


    • Affinités: Fûton, Raiton
    • Spécialités : Taïjutsu, , Ninpô, Sensorialité, Kuchiyose
    • Équipement: équipement de base

    Physique



    • Avatar: Jellal Fernandes- Fairy tail
    • Taille: 1m85
    • Poids: 80 kg
    • Cheveux: bleus
    • Yeux: Verts foncés
    • Signe(s) distinctif(s): Il possède plusieurs tatouages et cicatrices sur son corps. Les plus visibles d'entre eux, représente  une forme étrange écarlate située par dessus son œil droit et des ailes d'aigle situé sur ses omoplates. Un sceau ou un simple tatouage tribal ? L''avenir est seul maître de la Destinée.

    Mental


    L’humain, l’espèce la plus évoluée sur cette terre. Une créature, créée dans le plus pur des agiles, par le panthéon des dieux. Ces « enfants fragiles » recherchant la reconnaissance de leurs pères et mères célestes. Une créature à l’image du Divin, qui ne reste rien de plus qu’un animal remuant la queue pour ses maîtres, pour son alpha. Certes doués d’un esprit et du don de parole, mais aussi cruel et cupide que l’animal, qui lui n’agit que par instinct. Shiro n’en faisait point exception, non, il embrassait pleinement cette vérité. Il n’était qu’un humain, qu’une enveloppe d’apparence civilisée cachant la véritable âme de cette espèce : un chimpanzé rusé et perfide, un loup dont l’honneur et la loyauté n’allaient qu’à ces proches, un fauve qui ne trouvait le plaisir que dans une bonne chasse à l’homme.

    Cette bête intérieure, cette espèce vengeresse représentait ses sentiments refoulés, sa rage et sa haine. Les émotions, ses propres émotions, ne demeuraient que des mets sans saveur, ces illusions chimiques qui ne cherchaient qu’à emprisonner ses sens pour le livrer, sur un plateau d’argent, aux fils de chakra des Shinigami. Toutefois, certaines réussissaient à s’évader de ce métal plus dur que l’acier, de ce cœur vide et sombre qui ne servait qu’à pomper le sang. L’honneur, la fidélité, l’amour. Ah l’amour, il l’avait ressenti plus d’une fois… Enfant, Adolescent, jeune adulte…l’amour avait tenu une place importante dans son passé, galvanisé par sa bête intérieure croyant apercevoir enfin son âme-sœur. Sensation qui ne laissait pas place qu’à la déception et l’échec. Mais il

    Pour autant, l’animal social ne détestait point les sentiments. Il aimait regarder la joie et le bonheur dans ses congénères, ceux encore pris dans le Genjutsu, refusant de voir la réalité en face. Il aimait voir l’amour naître entre deux êtres. Mais ce qui ravissait son âme plus que tout, c’était le schisme qui s’opérait lorsque la lueur de vie quittait le regard des futurs défunts. Leurs cris de terreur lorsque le " Umi Washi" plongeait en piqué, près à délivrer son jugement.

    Néanmoins, malgré cette soif de destruction et de sang, on pouvait distinguer quelques qualités si on grattait la surface. Tel un membre de l’espèce lupin, Shiro ne reculait devant rien pour prouver sa loyauté envers son village et ses proches. Il croyait en l’idéal de son « alpha », cette volonté du plus grand bien pour le Pays de l’eau et la brume sanglante. Il défendait les opprimés et les faibles qui avaient tant souffert durant les batailles et affrontements sans fin pour quelques terres. Mais n’était-ce pas pure hypocrisie de sa part. Ne jouait-il pas au ninja juste pour préserver ses connaissances et sa « famille » ? Ne suivait-il pas les ordres à la lettre juste pour assouvir un plaisir malsain à causer la destruction des ennemis de son village ? Ne prenait-il point plaisir à éliminer les cibles sans un regard pour les dommages collatéraux ? N’avait-il point ôté la vie à des innocents et des enfants alors qu’il avait juré de protéger l’avenir juvénile de son village ?

    Non, toutes ses questions ne traversaient point les membranes de son esprit. Il n’était pas qu’humain, il était un loup. Il était vital, instinctif de respecter les ordres de l’Alpha et d’éliminer toute menace pour sa meute. Pour autant, l’humain en son être dominait toujours la bête. Certains aspects de son innocence perçaient encore cette aura sombre. Il se pliait volontiers aux règles d’usage et de convenance qu’un shinobi se devait de connaître. Non-content de l’amour, il recherchait néanmoins toujours son âme-soeur en ce bas-monde. Il trouva également en le désir un profond allié.

    Même l’animal s’octroyait une période de plaisir alors pourquoi pas le jeune Shiro. Aussi sauvage qu’aventureux, la séduction et le charme réjouissaient cet être. La chasse, la traque, rien de plus jouissif.

    Toutefois, aussi bestiale, soit-il, le jeune homme tenait à son honneur ainsi qu’à ceux de ces victimes. Il aimait certes les voir souffrir, mais il ne donnait que des morts précises et rapides. Il n’était pas rare de le voir placer un petit autel de terre auprès de ces victimes, priant pour leur salut et les remerciant pour leur sacrifice. La mort de ces êtres, de ses semblables concourait à assurer la pérennité de la brume sanglante, ainsi que sa propre vie. Il savait apprécier sans distinction la force et le courage d’un humain. Il n’était pas donné à tous,  le courage de de faire face à la lame et d’accepter de perdre sa vie pour défendre ses idéaux. Il espérait en faire partie. Il ressentait une certaine forme de  compassion, refusant d’abandonner ses camarades lors des batailles. également  de l’affection pour certains de ses plus proches camarades, les rares amis qu'il s'était fait en deux décennies d'existences.

    Si une image représentait cet être complexe, ce serait celle d’un homme chevauchant un fauve,  traquant le  gibier pour nourrir ses petits et pour le plaisir de la chasse.

    Histoire


    Dans les ténèbres d’une nuit sans Lune, la quiétude naturelle n’était plus. Les clameurs guerrières résonnaient dans cette vallée, boueuse et marécageuse, d’une terre dévastée qui serait bientôt considéré comme le Pays de l’Eau. Deux groupes paramilitaires se faisaient face, drapés des armoiries et symboles de centaines de générations. D’autres, encore, ne semblait porter en eux que le désir de s’enrichir et de prendre part au conflit. En cette nuit, deux clans se faisaient face, avec honneur et dignité, prêt à en découdre, conscient de la situation géopolitique mondiale. Les grandes familles de ce bas-monde, forte d’une puissance spirituelle ou d’une puissance économique, souhaitaient représenter l’espèce humaine. Rongés par la cupidité, ils ne souhaitaient plus se contenter de leurs territoires et possessions, mais s’accaparer de celles, dûment gagnés, par leurs congénères humains. Les enseignements de l’Ermite, cet être qui prônait la paix et le partage du chakra, mais qui avait ôté la vie à sa mère, selon les antiques écrits. Pour autant, dans son idéal du « Ninshuu », il avait doté l’humanité d’une puissance apocalyptique, qui s’était propagé telle une peste, ravageant paysage et fauchant la vie de manière plus efficace que les Shinigami de la Mort elle-même.

    Un homme aux cheveux bleus, se tenait prêt, malaxant son chakra, excité à l’idée de déchaîner les foudres de sa sauvagerie sur les ennemis de son « leader ». Toutefois, au son du Cor, d’étranges souvenirs ressurgirent de sa mémoire, alors qu’il s’élançait avec ses frères d’armes vers une nouvelle victoire.

    Flashback :

    C’est dans ce contexte que vit le jour, Shiro. Sa mère, femme de samouraï, avait perdu son innocence. L’homme, descendant d’un clan renommé de Testu, ne put honorer son épouse avant de connaître le trépas, noyé dans le liquide le plus perfide qui soit. D’autres, des shinobis nomades du Pays de l’eau, prirent sa place dans la couche et se livrèrent à un acte des plus abjecte. Adage connu, il faut se méfier de l’eau qui dort…

    De cette tragédie, en était ressortie une chose miraculeuse que les dieux shinto pouvaient accorder à leurs créations : la grossesse, période de souffrance, mais aussi synonyme de joie de donner naissance à une nouvelle existence. Pourtant, cette grossesse-ci représentait une malédiction. La femme, défaite par le dégoût et la malédiction, tenta par tous les moyens de se débarrasser du « monstre ». Mais ce dernier s’accrochait désespérément à la vie. Elle dut donc lui donner naissance. Sans un regard pour le nourrisson au duvet couleur océan, aux yeux étrangement d’une teinte vert forêt, elle abandonna son enfant pour reprendre le cours de sa vie. Aussi cupide que le reste de son espèce, elle espérait faire croire au clan de son mari une histoire rocambolesque pour retrouver son statut et son rang. Toutefois, elle ne put défendre ses chances, fauchée par les conséquences d’une escarmouche locale. Les hommes, après tout, n’étaient que des animaux sociaux….

    Le nourrisson passa plusieurs jours dans la misère, criant de faim et de froid, luttant avec cette même force déployée pour contrer les poisons ingurgités par sa mère, ses mêmes poisons qui auraient pu créer des maladies congénitales, voire pires. L’enfant, continua jusqu’à ce qu’un passant, maître d’armes itinérant, découvrit cette vie humaine. Doué d’une certaine forme de compassion, voilé d’un fanatisme religieux viscéral, l’homme prit l’enfant, emmitouflé dans des langes, et s’en alla, fort d’un nouvel héritier. Il ne saurait  laisser un enfant dans le besoin, quand il pouvait lui apporter le gîte et le couvert. Tel était l’enseignement de Susano’o, le grand dieu des valeurs.

    Protéger et instruit par son mentor, le bébé d’autrefois devint un enfant, puis un adolescent, capable de seconder le seul père qu’il connaissait dans son entreprise. Hariken Shiro, tel qu’il fut nommé par son père, apprit les arts du combat sous la férule de celui-ci. Il soumit son « héritier » à un entraînement des plus sévères et éprouvant qui laissèrent leurs marques sur le jeune homme. Shiro fulminait au commencement, ressentant les douleurs de l’effort, mais il ne fut pas déçu. Les shinobis étaient nombreux en ces terres, pillant et jouant les bandits dans cette terre ou la piraterie semblait connaître son âge d’or. L’enfant, armé d’un kunaï, défendait chèrement sa vie, tous les jours, sur les sentiers d’un pays encore en guerre. Mais ce ne fut pas ce qui attisa le désir du jeune guerrier, non, son attention fut alarmé par les prouesses du ninjutsu, ces techniques qui pliaient la nature, l’espace et le temps au bon vouloir des hommes et des femmes. Très vite, il fit la fierté de son père, maniant les arts shinobis avec un doigté et une maestria qui en feraient pâlir plus d’un maître dans la discipline. Les années d’apprentissage du combat au corps-à-corps et de la chasse dans les forêts luxuriantes et humides marquaient ce talent brut qui ne cessait d’étonner son mentor. En effet, le doyen embrassait pleinement sa part animale et il enjoignit son « fils » à en faire autant durant toutes ses années. Ils n’étaient que deux êtres bestiaux, cachant leurs sentiments et ne cherchant que le profit. Toutefois, l’homme craignait les pensées qui prenaient son fils par moment, alors qu’ils partageaient autour du bon feu un sanglier chassé par le jeune homme habituellement. L’homme commençait à apercevoir cette lueur, cette lueur sombre qui teintait le vert des yeux de son disciple. Les actes aussi parlaient d’eux même, le jeune homme se montrant aussi sanguinaire que les loups qui survivaient encore dans un pays insulaire. Certes, il vivait comme des humains antiques, mais l’homme n’éprouvait pas de plaisir malsain, il n’appliquait que les règles de la chaîne alimentaire : tué ou être tué.

    L’adolescent se détournait également des enseignements du Dieu des valeurs, au profit de rumeurs racontées par de vieux loups de mer rencontrés dans des échoppes lors de leurs voyages. Si les noms de Senju et d’Uchiha étaient connus de tous, un nom commençait à prendre de l’ampleur dans l’archipel. Divers surnoms pour un même nom : Oda Mizuchi. On racontait que c’était un jeune shinobi qui avait décidé de prendre les choses en main en tentant d’unifier le Pays sous la domination d’un seigneur de terre local, le futur Daimyo du Pays de l’eau. Véritable prodige du sabre, le clan Hozuki, un des clans discrets mais non moins célèbres de la région, avait failli face à l’armée de ses partisans. Même ses diables d’ « hommes bleus » craignaient ce nom.

    Shiro souhaitait rencontrer un tel homme et embrassait pleinement ses idéaux. Soumettre les détracteurs ou éliminer les gêneurs, tel était son interprétation de la loi de la jungle. L’adolescent, ou du moins l’homme, désormais, ne souhaitait plus vivre d’une vie de nomade et se frotter au menu-fretin. Il aspirait à accomplir sa destinée, à réaliser de grandes choses. Il avait fait son choix, et c’est à 17 ans qu’il prit la décision de se séparer de son père. Du moins, il aurait aimé que celui-ci le rejoigne dans sa quête et comprenne sa décision. Pourtant, l’homme pensait autrement. Il se sentait trahi. Tant d’efforts pour élever ce jeune homme pour que celui-ci place sa foi en un nom, et se détourne avec ingratitude de tout ce que l’homme lui avait enseignés, ces techniques secrètes qui demeuraient ainsi depuis des décennies. Ce petit saligaud n’allait pas ruiner cette tradition par égoïsme. Il devait disparaître aussi regrettable soit-il… C’est sans états d’âme que l’homme, profitant de l’obscurité, abattit son arme sur le corps, déjà pourvu d’un drap. Quelle fut sa surprise quand sa lame vient se glisser dans l’écorce d’une bûche, conséquence de la technique de permutation, avant qu’une main ne vienne directement frôler sa jugulaire. Il connaissait son disciple, mais ses forces et faiblesses n’étaient plus en secret pour l’homme qu’il avait élevé.

    Le vieil homme vit le film de son existence défilé devant ses yeux, s’écroulant ensuite dans son propre sang, supprimé par son fils. Dans ces derniers instants, il s’en voulut d’avoir enseigné sa philosophie à un autre humain. Ce fut l’ultime goutte qui déborda du vase, causant sa perte.

    Le shinobi continua son périple, se renseignant sur les hommes chargés du recrutement pour le seigneur Mizuchi. Au bout d’un an, il put enfin intégrer les troupes du grand Oda. Le jeune homme dû faire face aux épreuves, aux tentatives d’assassinat et à la concurrence qui régnait au sein des forces, leur seigneur n’acceptant que les êtres forts et sans pitié. Oda prônait cette implacable volonté, qui trouvait écho au plus profond de l’âme de Shiro. Il ne prit guère longtemps avant de ne plus être considéré que comme de la simple chair à canon, sa maîtrise du ninjutsu ravissant des collaborateurs du seigneur. Il eut même l’honneur de diriger l’une des brigades, chargée de l’assassinat de plusieurs chefs des armées séparatistes qui ne voulaient pas reconnaître l’autorité du Daimyo, l’allié politique de leur seigneur. Lorsque le jeune homme vit la fin de sa deuxième décennie, Oda créa un concept inspiré de la situation géopolitique du Pays du feu avec le village caché de Konoha. Tout comme l’union des Senju et des Uchiha, les clans de Mizu no Kuni furent obligés de coopérer avec le conquérant pour fonder le village caché de la brume sanglante. Contrairement à leurs homologues du feu, les ninjas du village ne suivaient pas des aspirations hypocrites et ne se soumettaient point. En quelques années, le seigneur Mizuchi avait réussi à placer le Daimyo dans une position de souverain durable du pays. Si quelques dissidences s’en ressentaient encore, le Mizukage poursuivait ses conquêtes d’unification de la région.

    Shiro put enfin connaître la sédentarisation et le sentiment d’avoir des frères d’armes et un pays à protéger. Il accomplissait ses missions et ses ordres dans la plus grande allégresse. Il en avait rêvé, enfant orphelin ayant été recueilli par un homme qu’il avait dû supprimer de ses propres mains, et le village réalisa son rêve. Oui, il se battrait toujours pour l’honneur du village, Oda et sa nouvelle épouse. En effet, le sabreur illustre était revenu avec une femme, ressemblant à une adolescente, et son clan. Les jours qui suivirent, il l’avait pris pour épouse, un clan de plus s’ajoutant au village, un clan qui représentait étrangement l’attribut du village caché avec leurs terribles techniques oculaires. Shiro en avait déjà fait l’expérience….


    Fin du flash-back

    Lorsque le jeune homme émergea de ses pensées concernant le clan Chinoike, l’un de ses alliés justifia ses propos, et empalant de son propre sang, une victime dont le nom n’était qu’insignifiance. Invoquant ses techniques les plus destructrices, celui qu’on surnommait désormais « l’aigle marin » prit plaisir à octroyer la victoire à son peuple, le sang impie giclant partout, sur ses vêtements, sur son visage éclairci d’un rictus sauvage, et sur le tatouage fait par son géniteur, mais surtout sur son bandeau, dont la plaque était parsemé d’une symbolique particulière : quatre traits, inscrits dans l’acier sous forme d’une brume qui s’élevait lors des batailles, qui s’échappait des pores des chigirijins tombés au combat et des ennemis. Une brume teintée de rouge qui s’étendait sur tout l’archipel, telle l’eau qui dormait, mais qui s’est réveillée, assoiffée de sang et réclamant sa tribu de vie humaine. La nature était pourvue que d’animaux. Cependant, le lion n’était pas le roi…. La couronne avait été dérobée de son cadavre par le maître de la Brume. Mais qui est-il réellement ? Ce cher Oda ou un individu qui attend son heure, dans l’ombre, en véritable ninja.

    Et vous ?



    • Prénom/Pseudo: Black Asta
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    Dernière édition par Hariken Shiro le Ven 10 Mai - 20:51, édité 8 fois
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    Message par Hariken Shiro Sam 13 Avr - 20:35

    Un petit Up pour dire que ma fiche est terminée.
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    Message par Rikudo Sennin Dim 5 Mai - 19:33

    Hello, désolé pour le retard :-)

    Tout est bon dans ta fiche, hormis le fait que Rang A ou B n'existe pas ^^ Il n'y a pas de rangs mais des grades, comme tu as indiqué pour Chûnin. Mais du coup pour être sûr de ton grade, je t'invite à regarder ce topic : https://naruto-sekai.forumsrpg.com/t21-les-rangs-ninjas

    Une fois que tu auras modifié cette petite partie, je pourrai te valider Wink
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    Message par Hariken Shiro Ven 10 Mai - 20:51

    C'est fait. Je préfère rester Chunin, comme prévu.

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